Vous avez un nouveau projet, une entreprise ou tout autre activité nécessitant de se faire connaître du grand public ? Avoir un site internet performant est donc une nécessité pour vous. En janvier 2023, 92,6% de la population Française utiliserait internet selon le Rapport Digital Global 2023. Cela devrait vous suffire à vous convaincre mais si vous souhaitez une raison supplémentaire, un site internet vous permet d’être trouvé sur les moteurs de recherche, où 93% des expériences en ligne commencent. Vous êtes convaincu ? Voici les offres préférentielles que nous mettons à votre disposition !
La rotoscopie est une technique d’animation effectuée à partir de références en prises de vue vidéo. Effectuée en deux temps (tournage préliminaire puis animation image par image par dessus), l’animation par rotoscopie permet d’obtenir un rendu très efficace tout en intégrant potentiellement un acteur référence ou les musiciens.
Officiellement breveté en 1915 par l’animateur Max Fleischer (Popeye, Betty Boop, Koko the clown) et servira notamment pour le court métrage « Out the Inkwell » en 1918. Une fois le brevet expiré, il sera récupéré par les Studio Disney qu’ils s’empressèrent d’utiliser pour le premier long métrage d’animation de l’histoire « Blanche-Neige et les Sept Nains ».
La technique a depuis été fortement utilisée pour tout type de métrages (long métrage, court métrage, music vidéo, …). Sans doute connaissez-vous le music video « Take on me » de a-ha ou encore « Heartless » de Kanye West. Tous deux ont été fait avec cette techniques d’animation et permettent, comme vous en êtes rendus compte, de faire apparaître les musiciens, un acteur connu / emblématique ou encore la mascotte du groupe. Comme vous pouvez le voir, les possibilités sont immenses mais nécessite un tournage ou un montage préliminaire afin d’avoir une référence pour effectuer l’animation par rotoscopie.
L’animation en papier découpé est une technique d’animation héritée, comme son nom l’indique, de l’animation en papier découpé. C’est une technique assez économe car elle se base sur l’animation d’éléments illustrés ou photographiés. De ce fait, pas besoin de tout redessiner image par image comme pour le dessin traditionnel ou l’animation par rotoscopie. L’autre intérêt de cette technique est la possibilité d’intégrer des éléments existants comme des photographies des membres du groupe ou encore d’illustrations ou tout autre élément emblématique du groupe.
Pour la première fois présentée par les pères fondateurs de l’animation tels que James Stuart Blackton ou Emile Cohl, la technique prendra son envol dans les années 20 avec la création de Die Abenteuer des Prinzen Achmed par Lotte Reinige en 1926. Bien que des essais furent effectués avant cela, c’est à partir de ce moment que le public et la profession comprirent la puissance de cette technique. En grand héritier de ces précurseurs, nous pourrons noter Terry Gilliam et Monty Python’s Flying Circus ou encore la série animée South Park de Trey Parker et Matt Stone.
Dans le milieu du music video, nous pouvons noter « And She Was » de Talking Heads, « Blood And Rockets » de The Claypool Lennon Delirium ou encore Mac Miller et son succès « Good News ».
Le dessin animé traditionnel est la technique d’animation la plus chère et la plus exigeante car chaque image se doit d’être dessinée/peinte sans avoir recours à l’interpolation (images intermédiaires assistées par ordinateur). De par son aspect laborieux et traditionnel, il est évident que ce genre d’animation ne laissera personne indifférent. C’est un peu le luxe, la Royles Royce de l’animation et elle est aujourd’hui à portée de votre projet.
Mis en place pour la première fois en 1906 par James Stuart Blackton, tout le monde connaît son rendu si particulier qui a fait les grandes heures des studios Disney ou encore de la japanimation des années 90s. Le nombre d’exemple de dessin animé est colossal tellement ce style fut populaire si bien que le moindre film d’animation est toujours appelé « dessin animé » par le grand public.
Sa présence dans le milieu du music video est elle aussi massive mais en général plutôt réservée aux projets de grande ampleur ou alors pour des collaborations d’artistes à artistes. En exemple connu, nous pourrions citer les chefs d’oeuvres « The Story of O.J. » de Jay-Z ou encore « One More Time » des Daft Punk.
Véritable révolution des années 2020, l’animation par IA en est encore à ses balbutiements mais les outils actuels deviennent de plus en plus performants. Fabriquer un music video en IA est un moyen assez clair de marquer la révolution technologique en cours et d’inscrire son morceau comme un pionnier visuel et graphique.
Encore en cours de développement, l’animation par IA est aujourd’hui générée avec des solutions comme Stable Diffusion, RunWay ou encore ControlNet. L’apprentissage de ces outils est encore expérimental mais nous offre des compositions inédites et bien souvent incroyables. La génération d’image se base sur le grain que peut posséder une image. En gros, l’IA va fouiller dans du grain en fonction des prompts entrées par l’utilisateur et y trouver de façon aléatoire ce que l’on veut qu’il y trouve. Il est ainsi possible de mélanger les styles graphiques, les sujets et tout ce qui vous passera par la tête.
Bien que je sois particulièrement attaché aux techniques traditionnelles, je pense sincèrement que son alliance avec les animations assistées par IA peuvent créer des monuments visuels encore jamais vu ! La révolution est en marche ! Il ne reste alors qu’une seule question : Se fera-t’elle avec vous ? 🙂